

Michel Jocaille est diplômé depuis 2015 de l’École Supérieure d’Art Npdc à Tourcoing.
« Ma pratique se concentre autour d’un travail d’installation questionnant l’image de soi en utilisant des techniques mixtes. Mes thématiques de recherches s’articulent entre elles sur des questions relatives à la construction d’une identité, avec ses paradoxes et ses contradictions, avec un attrait pour des représentations hybrides d’une réalité fantasmée. Mes premières installations (intitulées les fontaines) sont liées à des contextes de résidences ou en lien avec un territoire précis, avec son histoire. Ces installations expérimentales me permettent aujourd’hui de pouvoir lier les notions de vanité – liée aux influences des nouvelles technologies numériques sur nos corps, par la pratique du sport et des applications de rencontres amoureuses – d’érotisme – dans la dé-construction de la neutralité et de l’universalité des images telles qu’elles sont perçues – et de mort – en référence au travail de Georges Bataille, Mélanie Klein, Régis Debray ou encore Jean Claude Ameisen.»
