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À travers le son, la vidéo, la performance ou l’installation, Regina crée un univers d’une beauté illusoire et virtuelle alliant contes macabres, profondeurs d’internet et bestiaires de personnages ardents et tristes. Dans ses huis-clos immoraux et dystopiques, Regina invite proches collaborateurs et méta-amis à déployer avec elle des « fairy horror stories » : une atmosphère ouatée et enveloppante qui flirte avec l’esthétique de la violence, un choc souvent émotionnel et répétitif, à

l’image de la musique techno.

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