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«L’art de Bianca Argimon n’est ingénu qu’à première vue. Comme un siphon, les couleurs acidulées de ses dessins et ses petites sculptures aspirent l’oeil dans un tourbillon de situations ubuesques et d’objets impossibles où les figures humaines apparaissent comme des pions perdus dans un vaste bazar. Ce bazar nous est pourtant familier : un open space, une salle de sport ou encore une assemblée. Car le travail de Bianca Argimon est traversé par un quotidien hyper médiatique que son dessin rageur et minutieux traite comme une maladie.

Dans un monde pessimiste et révoltant, elle dessine comme d’autres riraient de manière compulsive.

Camée à l’information, Bianca Argimon nous offre une dose de dessin en thérapie.»

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